Prévention de la transmission de l'infection V.I.H. dans les lieux de soins et laboratoire

Publié le 12 octobre 1987
Mis à jour le 6 septembre 2019

Le point est fait des études françaises (pastoriennes) et américaines (N.I.H. et C.D.C.) portant sur la stabilité du virus V.I.H. Il s'agit d'un virus fragile sensible aux agents physiques (chaleur) et chimiques (javel 0, 10, alcool à 70%) courants. 3 séries de 400 à 500 professionnels ont montré que le risque de contamination est inférieur à 1%, tandis que pour les hépatites B, il est de 12% chez les personnels exposés (voie parentale et cutanée-muqueuse). Des mesures d'hygiène élémentaires sont recommandées dans les manipulations.

Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, 1987, n°. 40, p. 157-8