A Mayotte, la surveillance du paludisme repose sur la déclaration des cas par le laboratoire du CHM et les médecins à la plateforme de veille sanitaire de l'Agence de Santé océan Indien (ARS-OI), délégation de Mayotte. Chaque déclaration fait l'objet d'une investigation épidémiologique par le service de la lutte anti-vectorielle (LAV). L'analyse des données et la retro-information sont assurées par la Cire océan Indien.
Points clés :
- 46 nouveaux cas de paludisme déclarés en 2012
- La tendance à la baisse observée en 2011 semble se confirmer
- Un nouveau foyer de circulation autochtone à Tsararano
Année de publication
: 05/06/2012