Prévalence de C. Trachomatis dans une clientèle de gynécologues libéraux en région parisienne

Publié le 8 avril 1997
Mis à jour le 11 juin 2019

Les infections à Chlamydia trachomatis (Ct) sont difficiles à surveiller, en raison de la pauvreté de leur expression clinique et de l'absence de méthode idéale de diagnostic. Le réseau RENACHLA concerne les infections pour lesquelles une confirmation microbiologique a été prescrite. Dans le réseau sentinelle, la surveillance des urétrites masculines est uniquement clinique. Les systèmes de surveillance actuels présentent donc une lacune quant à la couverture des femmes suivies en médecine libérale. Or deux tiers des infections à Ct chez les femmes sont diagnostiquées par des gynécologues libéraux. GYNECHLA est un réseau composé de gynécologues volontaires installés en région parisienne qui a mené une enquête pilote en 1991. Les résultats présentés dans cet article proviennent de la série de prélèvements réalisés entre avril et juin 1993. (adapté du texte).

Auteur : Warszawski J, Meyer L, Weber P
Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, 1997, n°. 15, p. 64-5